Équipements thermiques industriels sur-mesure
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Tableau de valeurs déterminées par des essais pour la détermination des caractéristiques gazières des équipements de chauffe.
Les brûleurs avec « Air comprimé moteur » (Ou ACM) sont des brûleurs à air induit avec une addition d’air comprimé. Cela permet pour un brûleur de taille équivalente d’avoir une puissance nominale plus élevée.
Totalité de l’air servant à la combustion du gaz. Il comprend l’air primaire entrant dans le venturi ou dans la chambre de mélange à air total, du brûleur (Air primaire) et l’air ambiant autour de la tête de flamme du brûleur (Air secondaire) pour terminer la combustion.
Dans le brûleur atmosphérique, le jet de gaz sous pression entraîne l’air primaire comburant nécessaire à la combustion.
En soumettant un mélange gazeux à une étincelle électrique inflammable, l’étincelle ionise le mélange qui permet alors de lui faire transmettre de l’énergie.
De ce fait, l’énergie peut être libérée afin d’atteindre les conditions d’inflammation. L’énergie électrique se transforme alors très rapidement en énergie thermique : Le délai d’auto-inflammation est très court.
Température minimum d’inflammation spontanée qu’on obtient à pression donnée pour un mélange combustible-comburant. Il est possible de définir des températures d’auto-inflammation pour différentes pressions ou différentes compositions du mélange réactif (air ou oxygène pur, par exemple).
Système permettant la gestion centralisée des fonctions d’un équipement thermique
Bilan des quantités de chaleur entrant et sortant d’une installation industrielle et tenant compte des transformations et changements d’état de la matière et pouvant révéler le rendement.
Ensemble des éléments qui assurent l’introduction du ou des combustibles et du comburant pour obtenir une flamme.
Brûleur à air soufflé est à air de combustion total amené sous pression à l’aide d’un ventilateur, surpresseur ou compresseur.
Brûleur pour lequel les deux fluides, comburant et combustible, sont admis séparément au nez du brûleur.
Brûleur alimenté par un mélange homogène d’un gaz comburant et d’un gaz combustible.
Brûleur à prémélange dans lequel l’air ambiant est mélangé avec le combustible grâce à l’entraînement par un jet gazeux de combustible issu d’une buse à orifice calibré (Injecteur).
Brûleur où la vitesse de sortie des produits de combustion est importante, de l’ordre d’une à quelques centaines de mètres par seconde.
Brûleur à plaquettes céramiques pour l’émission d’infrarouge permettant le transfert de chaleur supérieur de 30% par rapport à une flamme bleue.
Cette famille de brûleur permet une grande répartition de puissance en surface.
Permet de contrôler la présence d’une flamme sur un brûleur en détectant les Ultra-violets émis.
Energie requise pour augmenter de 1°C la température de 1g d’une substance.
Les chalumeaux sont des brûleurs torche. Nous possédons une gamme de brûleurs à air induit, à air comprimé par moteur, à oxygène, à multi venturis ou bien à air atmosphérique.
Ces brûleurs sont les plus rependues dans les applications industrielles qui nécessitent une chauffe importante.
Généralement en béton réfractaire, un couvercle de poche permet, équipé d’un brûleur, de préchauffer une poche de coulée d’un métal en fusion.
Dispositif prévenant un retour de flamme à l’intérieur d’une canalisation, d’un appareil ou d’un récipient contenant un combustible inflammable. Peut-être appeler aussi arrête flamme.
Réaction chimique globalement et généralement fortement exothermique, autonome, susceptible de s’accélérer brutalement et d’être accompagnée d’émission de rayonnements.
Procédé direct de chauffage des liquides par barbotage des produits finaux de la combustion dans le liquide à chauffer.
Tout composé contenant au moins l’élément carbone et un ou plusieurs des éléments suivants : hydrogène, halogènes, oxygène, soufre, phosphore, silicium ou azote, à l’exception des oxydes de carbone et des carbonates et bicarbonates inorganiques
La présence de flamme peut être contrôlée par un thermocouple, une sonde de ionisation ou une cellule UV.
Un détendeur est un mécanisme utilisé pour faire passer un gaz stocké dans un étage (bonbonne de gaz, bouteille de plongée, réserve à oxygène, accumulateur…) à une certaine pression, vers un étage où la pression est plus faible.
Lorsqu’on usine une pièce, il est fréquent de voir apparaître des petites bavures. Ces bavures sont des surplus de la matière usinée. Elles peuvent être tranchantes et causer des potentiels problèmes d’assemblages. Le fait d’ébavurer consiste à enlever cet excès de matière non désiré.
Situation où la quantité de comburant disponible est supérieure à la quantité nécessaire pour oxyder tout le combustible. Cette situation correspond à un mélange carburant/combustible de richesse inférieure à 1. Dans l’industrie il est parfois nécessaire d’être en excès d’air pour être sûr de brûler complètement et rapidement tout le combustible.
Rapport entre le volume d’air mesuré et le volume de mélange d’air/gaz dans le tête de combustion par rapport à la combustion stoechiométrique.
Le type de flamme est une classification de la forme de la partie visible de la flamme selon trois catégories. Type 1 : flamme longue. Type 2 : flamme courte percée suivant son axe. Type 3 : flamme courte en forme de boule. Ce classement a été défini et adopté par la Fondation de Recherche Internationale sur les Flammes (FRIF).
Enceinte thermique servant à chauffer ou cuire des matériaux ou des produits alimentaires (four industriel, frittage, fonderie, pyrolyse, traitement thermique, etc.)
Le Raku est un procédé de cuisson qui consiste à faire subir à la pièce un choc thermique important.
Les pièces sont souvent mises dans des fours préchauffés dont la température intérieure avoisine les 1000°C.
En fonction du type de pièce et de leur exigence, la cuisson peut se faire en cycle court (de 15 à 20 min) ou peut durer plusieurs heures.
Désigne les gaz à la sortie, l’échappement, d’une chambre de combustion, d’un four, de la zone de réaction d’une flamme.
Pour une combustion d’hydrocarbures dans l’air, les gaz brûlés sont majoritairement constitués d’azote, de CO2, et d’H2O et minoritairement d’oxygène et de polluants (CO, NOx, hydrocarbures imbrûlés, suies…).
Mélange gazeux combustible issu d’un gisement naturel ou du bio-gaz. Le gaz naturel, dont la composition varie considérablement d’un gisement à l’autre, est principalement composé de méthane CH4.
Le terme GNV se traduit par Gaz Naturel pour Véhicules. Le GNV est un carburant composé principalement (environ 90%) de Méthane CH4.
En général les véhicules roulant avec du GNV possèdent un double réservoirs : Bicarburation gaz essence.
Le véhicule consomme en priorité le réservoir GNV, puis, quand celui-ci est vide, passe au réservoir essence.
Nous possédons une gamme de torchères GNV qui permettent de purger les réservoirs de ces véhicules gaz en le brûlant. Il est désormais interdit de vider les réservoirs GNV dans l’air sans brûler le gaz qui en sort.
Le terme GPL se traduit par Gaz de Pétrole Liquéfié. Ce gaz est généralement du propane, mais peut être également du butane (plus rare). Le GPL est très facilement manipulable et on peut le retrouver comme carburant (Notamment dans les véhicules roulant au GPL), réfrigérant ou même propulseur dans les aérosols.
Nous possédons une gamme de torchères GPL qui permettent de purger les réservoirs de ces véhicules gaz en le brûlant.
Il est désormais interdit de vider les réservoirs GPL dans l’air sans brûler le gaz qui en sort.
Produits de combustion n’ayant pas subi une oxydation complète. Il peut s’agir, dans le cas de produits gazeux, d’aldéhydes, donnant aux gaz issus de la combustion une odeur particulière. Pour une installation industrielle, la présence d’imbrûlés se traduit généralement par un taux d’oxyde de carbone trop élevé, signe d’un mauvais rendement global de combustion, d’une augmentation de la consommation calorifique, voire de risques d’explosion.
Organe réalisant la pulvérisation et l’homogénéisation du combustible à l’intérieur de la chambre de combustion.
Distance entre la base de l’orifice de flamme jusqu’à la limite de la flamme présentant le début d’émission des gaz brûlés.
Partie d’un brûleur réalisée en matériau réfractaire, située au débouché du comburant et du combustible, confinant l’écoulement dans cette zone. Les brûleurs à mélange au nez sont toujours munis d’un ouvreau qui favorise la stabilisation de la combustion. En jouant sur la géométrie de l’ouvreau, il est possible de modifier la forme et la structure de la flamme.
Les pertes calorifiques sont toutes les déperditions de chaleur qui, sur une ligne industrielle, se dissipent vers l’extérieur. Elles comprennent les échanges vers l’extérieur à partir des parois, les imbrûlés gazeux, la chaleur sensible des produits sortant du système (fumées, poussières, refroidisseur…). Toutes ces pertes sont comptabilisées dans le bilan thermique.
Récipient qui, recevant le métal en fusion à la sortie d’un cubilot ou d’un four, permet de le transporter jusqu’au moule où il doit être coulé.
Dispositif de combustion mis en place après le premier ensemble de chauffage afin d’assurer une combustion idéale.
Le pouvoir calorifique d’un combustible à la température T est égal à la quantité de chaleur dégagée par la combustion complète sous pression atmosphérique normale de l’unité de quantité de ce combustible (pouvoir calorifique massique pour l’unité de masse, volumique pour l’unité de volume ou molaire pour une mole), les éléments nécessaires à la combustion et les produits de la réaction étant pris dans les mêmes conditions de pression et de température.
On distingue le pouvoir calorifique supérieur, noté PCS, où l’eau formée pendant la combustion est condensée à la température T, et le pouvoir calorifique inférieur, noté PCI, où l’eau formée par la combustion est considérée à l’état gazeux à la température T.
Un pressostat est un dispositif détectant le dépassement d’une valeur prédéterminée, de la pression d’un fluide.
L’information rendue peut être électrique, pneumatique, hydraulique, ou mécanique.
La pyrolyse, est la décomposition d’un composé organique par la chaleur (sans flamme, pour éviter l’oxydation et la combustion) pour obtenir d’autres produits (gaz et matière) qu’il ne contenait pas.
Matériau façonné (briques, tubes…) ou non façonné (bétons), résistant à de très hautes températures. En combustion industrielle, l’utilisation de revêtements réfractaires dans un four vise à isoler les enveloppes métalliques du contact de la flamme et à réduire les pertes calorifiques par ces enveloppes
Rapport de la chaleur dégagée par la combustion à celle théoriquement disponible (pouvoir calorifique du combustible). Ce rendement est toujours inférieur à l’unité.
Phénomène dû à la non stabilisation d’une flamme de prémélange qui quitte sa position d’équilibre statique apparent (par exemple le sommet d’un brûleur), à cause d’une vitesse d’écoulement des gaz frais trop faible par rapport à la vitesse fondamentale de la flamme. La flamme remonte alors le courant des gaz frais et pénètre dans le brûleur.
Source de chaleur utilisée pour allumer des matériaux ou des produits combustibles.
Correspondant à la consommation totale du combustible et du comburant
Phénomène dû à la non stabilisation d’une flamme de prémélange qui quitte sa position d’équilibre statique apparent (par exemple le sommet d’un brûleur), à cause d’une vitesse d’écoulement des gaz frais trop faible par rapport à la vitesse fondamentale de la flamme. La flamme remonte alors le courant des gaz frais et pénètre dans le brûleur.
Température maximale susceptible d’être obtenue par les gaz en fin de combustion. Elle se calcule en déterminant l’état final d’un mélange carburant/combustible pris initialement dans des proportions stoechiométriques et ayant subi une combustion adiabatique à pression constante.
Le torchage ou « brûlage des gaz » est l’action de brûler, par des torchères, des rejets de gaz naturels à différentes étapes de l’exploitation des gaz et pétroles.
C’est une tuyauterie qui s’élève en hauteur et à l’air libre et qui sert à brûler les résidus gazeux pour le purgeage.
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